Il existe plusieurs méthodes pour la liposuccion, des techniques classiques aux procédés plus innovants. Quelles sont les différences et à qui s’adressent-elles ?
Des méthodes innovantes
Pas toujours facile de se sentir bien dans son corps. Si une alimentation saine et la pratique d’une activité physique font partie des bases pour retrouver une silhouette harmonieuse, il n’est pas toujours évident d’atteindre son objectif en misant simplement sur ce type de méthodes. Pour tous ceux et celles qui ont besoin de plus et attendent des résultats rapides, la chirurgie esthétique est la meilleure solution.
Parmi les interventions les plus pratiquées au monde, la liposuccion. Ce procédé, qui consiste à ôter de la graisse là où il y en a trop, fait l’objet de constantes recherches et évolue. Désormais, les patients ont le choix entre plusieurs procédures, en témoigne ce guide sur la liposuccion des cuisses par exemple.
Les progrès de la science ont permis d’aboutir à des techniques de liposuccion plus douces. Qu’il s’agisse d’extraire une grande quantité de graisse ou simplement de restructures le contour de certaines zones, plusieurs possibilités s’offrent à chacun.
Objectif : récupération rapide
Il y a quelques années, la méthode en vogue était réalisée de manière dite « sèche », c’est-à-dire sans l’injection de fluides qui permettent de détacher les amas graisseux du muscle et du tissu. Les résultats étaient sans appel, ecchymoses et saignements faisaient partie des suites d’intervention communes. Aujourd’hui, la technique dite « humide » est privilégiée. Elle consiste en l’injection de liquides dans la zone traitée, permet un acte plus précis et moins de conséquences post-opératoires.
La liposuccion au laser
Le laser va permettre de détacher les cellules graisseuses en les liquéfiants. Elle est particulièrement pratiquée pour de petites interventions (visage, cou…). Elle donne des résultats visibles immédiatement et améliore l’aspect de la peau durablement.
La liposuccion par tumescence
Cette liposuccion humide intègre l’injection de fluides dans son processus. Ils permettent de détacher les cellules graisseuses. Le chirurgien insère une fine canule qui va aspirer la graisse et les liquides, ne laissant qu’une cicatrice insoupçonnable.
Ces deux techniques permettent de reprendre une vie normale très rapidement, puisqu’elles sont réalisées en ambulatoire. Généralement, on autorise la reprise d’une activité professionnelle 1 à 4 jours après l’opération, et celle d’une activité sportive 4 à 6 semaines plus tard.
La liposuccion avec ultrasons et la méthode VASER complètent l’offre, mais elles sont moins utilisées que les précédentes.